Design Graphique
Watt-Design Graphique
Je suis un graphiste et ça se reconnaît à travers mes actes...
Le graphiste utilise des images, des
symboles, des caractères, des couleurs et
des éléments graphiques – sur support
d’impression ou sur écran – pour
communiquer et organiser des idées, et
donner à un message la forme qui suscitera
la réaction voulue.
Au départ, le graphisme était affaire
de création de polices de caractères et
d’impression de livres. Il s’est étendu depuis la révolution industrielle (fin du XVIIe - début du XVIIIe siècle) à la publicité, aux périodiques, aux affiches et aux vecteurs éphémères des nouveaux marchés de grande consommation. Le terme « conception graphique » attribué à W.A. Dwiggins, illustrateur et concepteur de livres, qui l’aurait créé pour désigner ses propres activités, est apparu en 1922. L’étude formelle du graphisme est devenue une discipline à part entière dans les années 1920 et le terme s’est généralisé après la seconde guerre mondiale.
Contrairement à d’autres disciplines des
arts visuels, le graphisme ne relève pas de la création artistique spontanée. Il s’agit d’une prestation de service rémunérée répondant à la demande d’un client (entreprise ou autre). Si la création artistique a toujours été financée par des mécènes, c’est seulement dans les années 1830 qu’est né le mythe du peintre bohême dont l’œuvre « est l’expression de sa personnalité ». Ainsi est apparue la distinction entre beaux-arts et « art commercial ». Les graphistes ont tiré parti de cette distinction pour des raisons philosophiques et stratégiques, et surtout parce qu’ils y voyaient un moyen de faire reconnaître une profession susceptible d’apporter une inestimable valeur ajoutée aux entreprises.
Le graphiste utilise des images, des
symboles, des caractères, des couleurs et
des éléments graphiques – sur support
d’impression ou sur écran – pour
communiquer et organiser des idées, et
donner à un message la forme qui suscitera
la réaction voulue.
Au départ, le graphisme était affaire
de création de polices de caractères et
d’impression de livres. Il s’est étendu depuis la révolution industrielle (fin du XVIIe - début du XVIIIe siècle) à la publicité, aux périodiques, aux affiches et aux vecteurs éphémères des nouveaux marchés de grande consommation. Le terme « conception graphique » attribué à W.A. Dwiggins, illustrateur et concepteur de livres, qui l’aurait créé pour désigner ses propres activités, est apparu en 1922. L’étude formelle du graphisme est devenue une discipline à part entière dans les années 1920 et le terme s’est généralisé après la seconde guerre mondiale.
Contrairement à d’autres disciplines des
arts visuels, le graphisme ne relève pas de la création artistique spontanée. Il s’agit d’une prestation de service rémunérée répondant à la demande d’un client (entreprise ou autre). Si la création artistique a toujours été financée par des mécènes, c’est seulement dans les années 1830 qu’est né le mythe du peintre bohême dont l’œuvre « est l’expression de sa personnalité ». Ainsi est apparue la distinction entre beaux-arts et « art commercial ». Les graphistes ont tiré parti de cette distinction pour des raisons philosophiques et stratégiques, et surtout parce qu’ils y voyaient un moyen de faire reconnaître une profession susceptible d’apporter une inestimable valeur ajoutée aux entreprises.
HD graphic WD |
Le graphisme est une discipline de « mise
en forme » qui conjugue un mélange
de savoirs, de savoir-faire et d’intuition
selon des modalités déterminées par les
caractéristiques de chaque nouveau projet.
Le graphiste doit être sémioticien
pour comprendre les processus et
interrelations inhérents à la perception
et à l’interprétation du sens véhiculé
par un élément visuel ou verbal. Il
doit aussi comprendre comment se
transmet l’information stratégies pédagogiques, représentation des données, lisibilité et utilisabilité (exploitabilité), ordonnancement cognitif et résolution hiérarchique de problèmes – jusque dans la typographie, la mécanique de conception d’alphabets et la lecture. Il ou elle doit avoir la maîtrise analytique et technique de la création d’images – comprendre comment les formes, les couleurs et les textures peuvent exprimer des idées, assurer la cohésion et le dynamisme esthétique, et signifier des concepts d’ordre supérieur tout
en suscitant une réponse émotionnelle forte.
Le graphiste doit également bien connaître
la psychologie et l’histoire car il lui faut
maîtriser les fondements sociaux, les
habitudes culturelles et le symbolisme,
tout autant que les concepts du marketing (stimuler, susciter ou renouveler les besoins du consommateur).
Enfin, et ce n’est pas la moindre des choses,
il doit avoir une connaissance approfondie
et une parfaite maîtrise des multiples
technologies sollicitées dans la mise en
œuvre de la solution retenue : supports et
techniques d’impression, photo et vidéo,
programmation informatique, processus
industriels, infographie, ergonomie, etc.
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Cordialement Mr.
Moussa KANTE